Chronique gauloise no 15

En première mondiale : les Oursoulos!

Chères lectrices et chers lecteurs assidus de nos chroniques gauloises. Aujourd’hui, vous allez vivre un grand moment et vous pourrez vous coucher satisfaits en vous disant que cette journée a été l’une des plus mémorables de votre vie car vous aurez fait la connaissance des Oursoulos.

Les Oursoulos, c’est le couple d’oursons le plus laid depuis l’invention de l’animal en peluche. Même les hommes du Néanderthal ou de Cro-Magnon en faisaient de plus beaux, en peau de sanglier sauvage rempli de poil de lapin carnivore.

Les lectrices et les lecteurs du Québec ne seront pas surpris d’apprendre qu’ils ont été acquis, il y a quelques années, pour 1 $ chacun (ce qui est déjà trop cher payé!) dans un Dollarama, royaume du kitch et du quétaine.

Ce qui tout d’abord n’était qu’un gag, puis un jeu entre nos deux filles – celle qui était en possession des oursons devait trouver le moyen le plus subtil possible pour les refiler à l’autre sans qu’elle ne s’en aperçoive, les Oursoulos sont devenus un véritable objet de culte pour notre famille.

Maintenant, tout comme le nain de jardin du père d’Amélie Poulain, chaque membre de notre famille a l’obligation d’amener Oursoula et Oursoulo -- ce sont leurs jolis prénoms -- dans ses valises et de les photographier en pays étranger.

Alors, voici en primeur les photos des Oursoulos à Paris :

-- Les Oursoulos et la Seine

-- Les Oursoulos et la tour Eiffel

-- Les Oursoulos et le Sacré-Cœur (clin d’œil obligé à Amélie Poulain)

-- Et, finalement, les Oursoulos en compagnie de leurs parents adoptifs à bord d’un bateau-mouche.

P. S. : Dès notre retour de France, nous avons expédié les Oursoulos par la poste à Iqaluit, dans le grand nord Canadien, où se trouve présentement notre fille aînée.

Nous attendons impatiemment les photographies officielles de leur voyage au Nunavut!