Ce roman est ma deuxième incursion dans l'univers de l'auteur Jacques Côté. L'an dernier, j'ai été fort satisfait de ma lecture de La rive noire, ce qui m'a bien sûr incité à mettre la main sur son plus récent roman, Le Chemin des brumes.
Un peu par paresse, et parce que je ne pourrais faire mieux, voici le résumé de l'histoire tel qu'on le retrouve en couverture arrière du roman:
« Juillet 1981...J'aime beaucoup ce que fait Jacques Côté car ses romans sont menés tambour battant et construits de manière à susciter un intérêt constant chez le lecteur. De plus, les enquêtes se passent généralement à Québec, quoique dans celui-ci, on se retrouve plus souvent qu'autrement dans la réserve faunique des Laurentides, dans le secteur du village fantôme de Val-Jalbert. Ça nous change des paysages de la Scandinavie...
Pendant que Daniel Duval et son collègue Louis Harel participent aux Jeux mondiaux des policiers à Mexico, Gilles Hébert part en vacances avec ses petits-fils Sébastien, six ans, et Vincent, treize ans. Le vieil homme étrenne sa roulotte et il a la ferme intention de trouver un site enchanteur en pleine nature sauvage. Si les Jeux se terminent bien pour les deux policiers, il n'en va pas de même pour le voyage des campeurs...
De retour au boulot le lundi matin, Duval et son équipe sont affectés à la disparition de la famille Hébert. Duval déteste ces cas - il sait bien que, une fois les vingt-quatre premières heures passées, chaque minute perdue représente un espoir de moins de retrouver des survivants. Or, tout ce qu'il a pour entamer les recherches, c'est une photo de la roulotte... et pas la moindre idée de la destination de Gilles Hébert!
Alors que les enquêteurs tentent par tous les moyens de localiser la roulotte et que la mère se ronge les sangs, le jeune Vincent, lui, vit un cauchemar : perdu au coeur du parc des Laurentides, il doit fuir un désaxé qui le traque comme une bête... »
De plus, les romans de Côté se situent autour de l'année 1980 et l'auteur s'est magnifiquement documenté pour bien recréer la société québécoise de cette époque. D'ailleurs, il faut souligner la minutie que met l'auteur dans ses recherches pour se coller à la réalité, tant historique que géographique.

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