mercredi 2 septembre 2009

Chronique gauloise no 55 -- C'est un départ


Plus de deux semaines après notre retour de France, j'entreprends aujourd'hui la rédaction de mes carnets de voyage pour vous présenter, jour après jour, mes souvenirs de cette visite à Paris, dans le Morbihan et dans la région de Bordeaux.

Pourquoi ce premier carnet, sous le titre Chroniques gauloises, porte-t-il le numéro 55? Tout simplement parce que les 54 premiers carnets, rédigés entre juillet et octobre 2007, racontaient notre premier voyage en France.

C'est donc une suite et j'espère que vous aurez du plaisir à me lire.
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(Québec, le jeudi 30 juillet 2009) -- Contrairement à notre premier voyage en 2007, nous avons décidé cette fois de nous envoler de l'aéroport de Québec plutôt que de celui de Montréal, ce qui s'est avéré une sage décision.

Tout d'abord, parce qu'il est plus petit, il est bien plus facile de s'y retrouver. Deuxièmement, nous savons qu'à notre retour, nous n'aurons pas à nous taper trois heures de route avant de nous retrouver à la maison, ce qui est un avantage quand on est sur le décalage horaire.

Autre changement par rapport à 2007, c'est que nous avons diminué la quantité de valises pour pouvoir voyager plus léger. Bon, compte tenu du poids réel de nos sacs à dos respectifs, ce n'était pas tout à fait léger, léger. Disons plutôt que nous voyagions avec moins de valises, ce qui est plus près de la vérité.

Un gallon de sirop d'érable en cannes, que nous amenons en cadeau à nos amis Bretons, ça pèse en batince...

Pendant tout le vol, ou presque, nous survolons d'épaisses couches de nuages, ce qui nous empêche de voir le sol ou la mer. Les plus perspicaces d'entre vous me diront qu'en plus, comme une bonne partie du voyage se passait la nuit, que ça ne changeait pas grand-chose, ben oui!

Cependant, le ciel était suffisamment dégagé lors de notre entrée en terre française, juste au-dessus de l'embouchure de la Seine. Cela nous a rappelé notre précédent voyage, car nous avons visité la région que l'on voit sur la photo ci-dessus, prise du hublot de l'avion. La petite ville de Honfleur fait partie de nos plus grands coups de coeur de notre premier voyage. Si jamais vous avez la chance de passer dans le coin, il faut absolument y faire un détour. Que dis-je! Un détour c'est bien trop court. Prévoyez plutôt trois ou quatre jours.

Je me rends compte, tout à coup, que nous sommes rendus au 31 juillet. C'est donc la fin de ce premier carnet. Prochain sujet : une escale d'un jour à Paris.

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