Le symbole perdu est le premier roman publié par l'auteur Dan Brown depuis l'immense succès du Code da Vinci en 2003. En effet, même si, entretemps, nous avons retrouvé sur les rayons des librairies des titres comme Anges et Démons ainsi que Deception point, il faut se rappeler qu'il s'agissait de traductions françaises de romans que Brown avait publiés en anglais avant le Code da Vinci.
De ces deux derniers romans, je n'ai lu que Anges et Démons qui, à mon avis, était plutôt moyen. Par contre, Le symbole perdu, malgré quelques défauts mineurs, nous offre une aventure palpitante mettant en vedette Robert Langdon, le professeur en symbologie héros des romans Le code da Vinci ainsi que Anges et Démons.
Cette fois-ci, Brown nous transporte dans le monde des francs-maçons, ordre mystique auquel appartenaient de nombreuses personnalités illustres qui ont créé les États-Unis, dont George Washington lui-même.
Les francs-maçons auraient caché, à Washington même, un grand secret dont un illuminé, qui se nomme Mal'akh, est prêt à tout pour l'obtenir. Mal'akh a fait prisonnier le Grand maître des francs-maçons, qui est un ami de Langdon à qui il avait confié quelques mois auparavant, une petite boîte pour la mettre à l'abri. Or, dans cette boîte se trouve l'une des clés pour permettre de résoudre le mystère de l'emplacement du secret de la franc-maçonnerie. Mal'akh le sait et compte bien que Langdon pourra à la fois lui remettre l'objet et en décoder la signification.
On retrouve dans ce roman le style efficace de Dan Brown qui sait comment garder l'intérêt du lecteur, en particulier par l'utilisation de chapitres courts qui incitent à poursuivre la lecture. Les rebondissements sont fréquents et même surprenants, surtout en ce qui concerne la véritable identité de Mal'akh.
Mon principal bémol concerne l'obligation que Dan Brown s'impose, et nous impose, pour nous faire connaître tout ce qu'il a appris sur les francs-maçons lors de ses recherches pour préparer ce roman. Il en résulte, surtout en fin de roman après que l'intrigue se soit dénouée, de longues pages didactiques qui auraient pu être résumées.
Ma note : 8/10
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