Une fête nationale ou un hommage à Éric Lapointe?

Hier soir, en regardant à la télévision le grand spectacle de la Fête nationale du Québec présenté à Montréal, j'ai eu l'impression qu'on nous offrait plutôt un hommage au «nouveau» Éric Lapointe, notre dernier enfant prodigue en date de l'imaginaire québécois.

Avec tout le battage publicitaire et médiatique qui a suivi la récente descente aux enfers de l'enfant terrible du rock québécois, on le sait maintenant qu'il est devenu sobre, qu'il est maintenant un homme nouveau et qu'il a des dents.

En effet, on ne l'a jamais vu sourire aussi souvent, dévoilant une dentition supérieure immaculée et d'une blancheur éclatante, au point de se demander s'il a un nouveau dentier. J'opte d'ailleurs pour l'hypothèse d'un nouveau dentier qui n'est pas encore parfaitement ajusté à sa bouche puisque, hier soir, on arrivait à peine à reconnaître les paroles des chansons qu'il a interprétées...