(Paris, le vendredi 31 juillet 2009) -- Nous voici donc dans la salle d'attente à la sortie de l'aéroport Charles de Gaulle à Paris. Nous attendons l'arrivée du conducteur de la navette que nous avons réservée par Internet et qui doit nous conduire jusqu'à notre hôtel.
Il y a plusieurs entreprises du genre et nous voyons les différents conducteurs se promener dans la salle d'attente avec des cartons sur lesquels sont inscrits les noms des personnes qu'ils doivent reconduire à bon port. Après plusieurs minutes, force est de constater qu'on semble nous avoir oubliés, pas un seul carton n'indique notre nom.
En désespoir de cause, je décide de téléphoner à l'entreprise à l'aide d'un numéro sans frais. Heureusement, le conducteur est en route et devrait arriver sous peu, ce qui fut le cas.
Un trafic monstre

La rentrée dans Paris a été un peu laborieuse, car la circulation est lourde. C'est un peu normal pour une ville de cette ampleur, c'est vrai. Mais comme nous sommes au tournant des mois de juillet et d'août, c'est pire encore! En effet, les Juillettistes, ceux qui prennent leurs vacances en juillet, retournent à la maison, et les Aoûtiens, ceux qui prennent leurs vacances en août, partent pour les plages du nord ou du sud.
Mais tout ceci ne semble pas déranger outre mesure notre conducteur qui passera presque tout le trajet à parler au cellulaire!
Une chambre minuscule
La navette nous laisse, comme prévu, devant l'hôtel André Latin, de la rue Gay-Lussac, dans le cinquième arrondissement. Après les procédures d'usage, nous faisons la découverte de notre chambre dont l'espace vital est presque entièrement occupé par le lit!

Du côté gauche, la porte de la chambre de bain ne peut être ouverte au complet, elle accote sur le lit...

et du côté droit, impossible d'ouvrir complètement les volets de la fenêtre qui se butent eux-aussi contre le matelas.
Bof, c'est propre et nous n'y passerons qu'une nuit, cela fera l'affaire.
(Prochaine chronique : nous nous rendons à la gare Montparnasse.)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire