Notre-Dame de Paris
(Paris, le 25 juin 2007, avant-midi) – « Il est venu le temps des cathédraaaaaaaaleeeeeeee! » Ben oui, vous me connaissez, je n’ai pas pu m’empêcher de chanter, mais pas trop fort pour éviter de passer pour le quétaine du Québec pas capable de se retenir.
Il n’en reste pas moins que c’est assez impressionnant comme chapelle – en tout cas c’est un peu plus gros que la chapelle Sainte-Anne de Sainte-Marie! On pourrait facilement y tenir une vingtaine de messes en même temps, avec deux ou trois mariages dans la sacristie et des funérailles au jubé (ceci dit sans avoir la moindre idée s’il y a sacristie et jubé à l’intérieur puisque nous ne sommes pas entrés).
Les ouvriers qui l’ont construit devaient être patients car il a fallu 182 ans (1163-1345) pour venir à bout du chantier (c’est presque aussi pire que le stade olympique de Montréal, ça!). Une dizaine de générations de travailleurs auront donc œuvré sur ce monument sans jamais en voir le résultat final. C’est pas banal, je trouve. Moi qui déteste quand un dossier traîne en longueur… j’aurais sans doute fait une puissante dépression quasimodienne!
Nous reviendrons visiter l’intérieur de la cathédrale en fin de voyage, ce qui fera bien sûr l’objet d’une chronique à venir.

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