Accélérons la cadence quelque peu!
(Paris, 28 et 29 juin 2007) -- Nous voici déjà à la 21e chronique gauloise et nous en sommes à peine à la quatrième et cinquième journée de ce voyage de trois semaines. À ce rythme, j'écrirai sans doute la chronique de clôture du voyage quelque part en 2012! Alors, je vous lance en rafale, à la vitesse superchronique, les faits saillants des deux dernières journées à Paris avant notre départ pour la Normandie.
Montmartre et le Sacré-CoeurC'est sous la pluie que nous nous sommes rendus pour une première fois au pays d'Amélie Poulain (nous y reviendrons en fin de voyage). Ce qu'il faut retenir, en tout premier lieu, c'est que la butte Montmartre, il faut la gravir, la maudite! À la station de métro, l'ascenseur était en panne. Nous avons dû emprunter un premier escalier en colimaçon assez pas mal long. Bof! Nous avons-nous dit. C'est pas si pire si ce n'est que cela. Erreur...
Pour se rendre au Sacré-Coeur, les escaliers n'en finissent plus! Par contre, l'effort en vaut la peine car, en plus de la beauté du Sacré-Coeur lui -même, l'emplacement offre une vue imprenable sur Paris.
Un peu de potinage maintenant!Lors de notre passage au Virgin Megastore des Champs-Élysées, il y avait une séance de signatures mettant en vedettes Guillaume Canet, le réalisateur du film Ne le dis à personne, et François Cluzet qui en défend le rôle principal.
À Paris, c'était la folie furieuse pour la sortie DVD de ce film qui se trouvait partout, bien en vue, dans tous les magasins.
Bon, vous ne serez pas surpris si je vous dis que nous l'avons acheté... même plus, nous avons aussi fait l'acquisition du roman de Harlan Coben qui a servi de base au scénario de ce film.
Malheureusement, comme nos achats étaient déjà faits, que notre DVD et notre roman étaient à la chambre d'hôtel, nous n'avons pas eu la chance de les faire autographier. Puis, pour vous dire la vérité, il y avait trop de monde...
Souper sur les Champs-ÉlyséesLe jeudi 28, nos amis, qui repartaient le lendemain pour le Canada, nous ont invités à souper dans un restaurant des Champs-Élysées, oui, madame! C'est encore plus « standing » que la Grande Allée à Québec, yes, monsieur!
D'ailleurs, à deux pas du restaurant, nous avons aperçu cette luxueuse Rolls-Royce, juste pour vous montrer qu'on allait pas manger de la poutine comme chez Ashton!
Ce fut un repas mémorable, en bonne compagnie et arrosé d'excellents vins. Comme a déjà dit l'un de nos amis Bretons qui ne maîtrisaient pas très bien les expressions québécoises : j'ai bien bourré ma fraise! Et les autres aussi. Si jamais nos amis lisent ce blogue, nous les remercions à nouveau pour cet agréable moment en leur compagnie.
Comme un arbre de NoëlAprès un tel repas, une promenade s'imposait pour nous aider à digérer et faire descendre un peu le taux d'alcool dans le sang. Nous nous sommes dirigés vers la Seine et avons pu apercevoir la tour Eiffel habillée de lumières. Comme il était tout près de 23 h, nous avons attendu qu'elle se mette à scintiller de tous ses feux.
En effet, les dix premières minutes de chaque heure, la tour se transforme en arbre de Noël avec des milliers et des milliers de petites lueurs scintillantes.
En passant, ce n'était pas la pleine lune, malgré ce que l'on peut apercevoir sur la photo. C'est probablement une goutte de pluie.
Parlons malbouffeAprès vous avoir entretenu du plaisir de savourer la gastronomie française au restaurant, terminons cette chronique par quelques mots sur la malbouffe.
Côté chips, en France, c'est pas les gros chars. Premièrement, je ne me souviens pas d'avoir vu des sacs en portion individuelle, tandis que leurs « gros» sacs rassasient à peine deux personnes.
Nous vous présentons sur cette photo deux saveurs inconnues au Québec : Poulet rôti et thym, ainsi que Bolognaise. Ne nous demandez pas ce que ça peut goûter, nous ne les avons pas testées.

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