Les p'tites vites de Honfleur
- Dès notre arrivée en Normandie, ma blonde a été tout de suite impressionnée par les
maisons au toit de chaume.
-- Tu sais à quoi cela me fait penser?, dit -elle
-- Non.
-- À tes cheveux!
Gentil, c'est très gentil... - Lors de notre dernier repas au restaurant à Honfleur, notre serveur cherchait désespérément son limonadier pour ouvrir notre bouteille de vin. En blague, je lui dis que s'il ne le trouve pas, il devra ouvrir la bouteille avec ses dents! Je sens immédiatement qu'un malaise s'installe tout à coup. Je comprendrai pourquoi un peu plus tard lorsque notre serveur nous sourira en laissant paraître une dentition affreuse, bourrée de caries...
- J'ai déjà mentionné que dans la plupart des restaurants, le service est compris dans le total de la facture. Il est arrivé à une occasion où, si cela avait été possible, j'aurais exigé le remboursement de ce 15 % automatique tellement le service a été pourri. Il s'agit d'un petit resto italien, en bordure du Vieux bassin à Honfleur. Le service était si lent que nos voisins de table ont quitté même s'ils avaient déjà commandé. Dix minutes plus tard, le serveur est arrivé avec leur commande mais la table était vide! Pizza Gino, que ça s'appelle. Gino... j'aurais dû me méfier...
- Nous avions décidé de ne pas prendre les petits-déjeuners à notre hôtel pendant notre séjour à Honfleur, sauf pour le dernier matin. La raison principale : comme le service du petit-déjeuner se terminait assez tôt, nous ne voulions pas nous sentir obligés de nous lever si jamais nous avions envie de faire la grasse matinée. Sauf que... l'hôtel ne possédait pas de stationnement gratuit. Le stationnement de la Ville, pas très loin de l'hôtel, était hors de prix. L'hôtel voisin, affilié au nôtre, avait bel et bien un stationnement gratuit la nuit, mais il était toujours plein. Ne nous restait alors qu'une solution, un stationnement public situé à cinq minutes de marche de l'hôtel. Le hic : il est gratuit de 20 h à 8 h seulement, ce qui nous a obligés à nous réveiller chaque matin pour aller mettre une pièce avant 8 h... c'était pas cher, d'accord, mais pour les grasses matinées, nous avons dû en faire notre deuil...

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