Tout d'abord, laissez-moi vous rassurer. KAAMELOTT n'est ni une pandémie, ni une maladie vénérienne, ni un ver informatique. C'est plutôt une série télévisée française, présentée actuellement sur le canal Historia, dont je vous ai déjà parlé dans la Chronique gauloise no 12.
Nous avons ramené de France les coffrets des trois premières saisons. Sans faire exprès, Sylvie a « contaminé » l'une de ses collègues de travail qui n'est plus capable de s'en passer, comme s'il s'agissait d'une véritable drogue dure. Elle passe même ses dimanches après-midi au lit -- comme une malade finalement -- pour regarder en rafale des dizaines d'épisodes.
Nous songeons à faire la demande à notre ministère de la Santé, si jamais les coffrets de KAAMELOTT sont distribués au Québec, d'y ajouter la mention «le danger croît avec l'usage».
Personnellement, je tiens à m'excuser auprès de la nouvelle Kaamelottienne, et surtout auprès de son chum qui n'a plus qu'une blonde à temps partiel, pour tous les désagréments que peuvent leur causer ce virus virulent!


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