Les chutes de la Chaudière

Vous avez remarqué que les Chroniques gauloises ont pris congé au cours des derniers jours, ce qui n’est pas exactement mon cas puisqu’un extraordinaire surplus de travail à mon emploi m’a obligé à travailler le soir, le seul moment de la journée où je peux rédiger les textes de mon blogue.

En attendant la venue de la prochaine chronique, je vous transmets quelques photos prises dimanche dernier dans le Parc des Chutes-de-la-Chaudière à Charny.

Aussi bizarre que cela puisse paraître – et malgré le fait que ce soit à quinze minutes de chez nous – c’est la première fois que nous visitions ce magnifique parc. C’est un peu gênant, après avoir écrit tant de chroniques sur la beauté de la nature en France, de se rendre compte qu’il existe une telle merveille naturelle à un jet de pierre de la maison.

En passant, je me suis demandé en regardant le spectacle de l'eau qui tourbillonne, s’il y a des chutes quelque part en France, ailleurs que dans les Alpes ou les Pyrénées…et, bien sûr, sans tenir compte également de la chute de reins des Françaises qui est généralement bien agréable à regarder (Je sais, je sais, maudit macho! Je me flagellerai avant de me coucher ce soir pour me punir d’avoir écrit une telle chose!).

Tout cela pour dire que nous avons passé un bel après-midi à relaxer au son de l'eau qui tombe et des feuilles qui bruissent.

La fontaine de Tourny

Décidément, c'est une fin de semaine de premières pour nous. Cet été, à cause de notre voyage en France, nous ne sommes pas allés une seule fois dans le Vieux-Québec, ce qui fait que nous n'avions pas encore vu la toute nouvelle fontaine offerte par M. Peter Simon pour le 400e anniversaire de la Ville de Québec.

Cette fontaine a été réalisée en 1855 pour la Ville de Bordeaux. Elle y est restée jusqu'en 1960.

C'est finalement chez un antiquaire près de Paris que M. Simon la découvrira. Après restauration, transport et installation, elle trône maintenant devant notre parlement national et deviendra l'un des magnifiques symboles de notre capitale.

Merci M. Simon!