Mona, Lisa et Venus
(Musée du Louvre, le 14 juillet 2007) – Après nous avoir incités à visiter Notre-Dame, Serge insiste maintenant pour que nous entrions à l’intérieur de la pyramide du Louvre pour au moins découvrir le grand hall qui se trouve dessous. La filée semble assez longue mais, par contre, l’entrée se fait rondement. Alors, allons-y!
Pendant que je prends des photos du grand escalier et de la pyramide, Serge en profite pour s’informer des prix d’entrée dans le musée, au cas où il y aurait des forfaits de deux ou trois heures, car nous ne pouvons rester plus longtemps. Serge doit en effet prendre le TGV à la gare Montparnasse en fin d’après-midi. Surprise! C’est la fête nationale et l’entrée est gratuite!
La Joconde
Vous voulez savoir quel est le chemin le plus court pour se rendre à la Joconde dans cet édifice aux dimensions interminables? C’est simple. Oubliez les affiches et les flèches, vous n’avez même pas besoin de chercher. En fait, il suffit de se laisser porter par le courant, tous les visiteurs se dirigent vers la Joconde dès qu’ils ont mis les pieds dans le musée.
La Joconde est une oeuvre relativement petite, ne faisant que 53 x 77 cm mais, on le sait, sa notoriété est d'une dimension planétaire. En fait, retirer ce tableau de Léonard de Vinci du Louvre et le nombre de visiteurs diminuerait sans doute de moitié!
Malgré les affichettes qui indiquent l'interdiction de prendre des photos, tout le monde se fait aller le flash à qui mieux-mieux. Alors, pas plus fou qu'un autre, j'ai immortalisé notre visite par ma propre photographie numérique de la Mona Lisa.
La Vénus de Milo
La deuxième étape incontournable de la visite du Louvre se rapporte à une statue mondialement reconnue pour l'absence de ses bras. D'ailleurs, compte tenu de la beauté de plusieurs autres sculptures qui se trouvent dans le musée, c'est vraiment étrange que la Vénus de Milo soit la plus connue, la plus courue, la plus photographiée.
On dit qu'elle représente la grâce. Bon! J'avoue, elle est jolie la madame et j'aurais bien aimé voir le modèle qui a servi de modèle, avec ses bras bien sûr!
Nos filles connaissent très bien la Vénus de Milo, et ce, depuis qu'elles sont toutes petites. En effet, à chaque fois que je les surprenais à se ronger les ongles, je leur disais toujours : «c'est comme ça que la Vénus de Milo a commencé et elle a fini par se manger les bras au grand complet!»
Elles ne la trouvaient pas drôle...
(suite de la visite du Louvre à la prochaine chronique!)
mardi 9 octobre 2007
Chronique gauloise no 51
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